Vous avez monté votre agence il y a plusieurs années maintenant et vous vous y êtes mis corps et âme pour qu’elle rayonne. Seulement voilà, aujourd’hui, malgré tous vos efforts et votre compétence, vous êtes sur une mauvaise tangente. Un accident de parcours ou des difficultés structurelles vous sont tombés dessus. Vous avez à faire face à un divorce, une maladie, le départ d’un homme clé ou la perte d’un client important… Tout ceci achemine votre agence vers de grosses difficultés et ainsi mettre en péril votre patrimoine. Chez CEA, nous savons vous entourer et vous éviter de tomber dans une spirale infernale.
C’est un fait indéniable : La moitié des entreprises disparaissent dans les cinq ans à compter de leur création et on déplore environ 50 000 défaillances chaque année en France. Or, on s’aperçoit que ce chiffre pourrait être réduit en agissant sur trois niveaux structurels. Le premier niveau est d’ordre organisationnel. Il assure la mise en place d’indicateurs clés permettant de suivre de près l’activité et d’anticiper les difficultés.

Se savoir en difficulté :

Le plus compliqué serait selon nous de reconnaître que sa propre entreprise en difficulté ? Cela demande une abnégation voire un recul important sur ce qu’on peut vivre et s’en extraire. Les signaux d’alerte peuvent être de toute sorte malheureusement. Il peut s’agir d’un divorce, une maladie, le départ d’un homme clé, le non renouvellement d’un concours bancaire, obsolescence technologique (transition numérique, cybercriminalité), fraude, changement de règlementation.

Agir vite mais bien :

Souvent, le chef d’entreprise a cherché à s’en sortir seul avant de faire appel à des conseils au détriment de la procédure judiciaire et c’est là qu’une autre réalité doit impérativement être prise en compte : le temps judiciaire n’est pas du tout le même que le temps économique. Le plus gros de notre travail reste selon nous la prise en compte de la psychologie du chef d’entreprise. En tant que conseils, nous devons passer beaucoup de temps avec le dirigeant qui est nécessairement déprimé et bien souvent dans le déni. Il faut accepter l’échec et mettre son égo de côté.
Depuis 1967, la législation relative au traitement des entreprises en difficulté a beaucoup évolué. C’est un droit qui se forge en continu.
Retenez que la législation relative au traitement des entreprises en difficulté a beaucoup évolué dans le but de s’adapter aux difficultés économiques. Le constat reste alarmant : deux tiers des redressements judiciaires finissent en liquidation.
Prévention et réactivité seraient ainsi indispensables en pareilles circonstance. Gardez en tête que non seulement un expert-comptable mais aussi un avocat sont deux forces complémentaires et nécessaire à surmonter cette épreuve. N’hésitez pas à nous contacter pour plus d’informations au 01 43 67 17 18.