Le BIM assure une plus grande cohérence du projet, une absence d’incohérences entre les documents, des modifications plus rapides, une possibilité d’études de variantes et un processus de validation amélioré. L’aspect quantitatif en termes de délais et de documents produits est également visible et l’économie financière est liée avant tout à ces améliorations.

Un calcul nous a incité à nous poser la question en termes d’investissement et de retour en productivité chez nos clients architectes notamment.

Ainsi, considérons que procéder à la mise à jour annuelle de quatre licences ArchiCAD coûte environ 2895 euros soit 723 euros en moyenne par poste, soit 65 euros par mois pour 11 mois de travail. C’est sensiblement moins que le coût moyen d’une heure de travail d’un collaborateur d’une agence ou d’un BET.

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Donc, si au moins une des fonctionnalités de la nouvelle version améliore la productivité d’une heure par mois (soit 0,7%) alors l’investissement est rentabilisé et au-delà, il représente des gains de productivité donc des économies et non des dépenses. On peut même considérer que l’équipement complet d’un poste de travail pour le BIM (ordinateur, logiciel, formation, mise à jour annuelle) coûte 300 euros à 400 euros par mois (en financement sur 36 mois).
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Soit, là aussi, l’équivalent de la vente de 3 à 4 heures de travail produites par mois. (sur les 151 heures légales de travail mensuel en France). Donc un coût de moins de 3% pour un apport de productivité bien supérieur.
C’est sans appel : Apprenez que travailler via le BIM ne représente donc pas un coût supplémentaire mais un investissement générant rapidement des gains en productivité – considérez le comme une méthode de travail révolutionnaire – donc des profits.